Thomas Jorion's latest work is a series of Monolithes, concrete blocks on which the artist prints views of industrial cities. The 1976-born French artist, known for creating singular, timeless landscapes in natural light, has learned to make concrete casts which, due to the iron support inside, drip rust onto often damaged edges. This brutal material responds to the vision of great cities in ruins, and also recalls the artist's beginnings, when he traveled the world to eternalize colonial buildings, once chic and noble but now abandoned and returned to nature, or this construction of a nuclear power plant that was never completed and left to decay today.

La dernière œuvre de Thomas Jorion est une série de Monolithes, des blocs de béton sur lesquels l'artiste imprime des vues de villes industrielles. L'artiste français né en 1976, connu pour créer des paysages singuliers et intemporels à la lumière naturelle, a appris à réaliser des moulages en béton qui, du fait du support en fer à l'intérieur, dégoulinent de rouille sur des bords souvent abîmés. Ce matériel brutal répond à la vision de grandes villes en ruines, et rappelle aussi les débuts de l'artiste, lorsqu'il parcourait le monde pour éterniser des bâtiments coloniaux, chics et nobles autrefois mais abandonnés aujourd'hui et rendus à la nature, ou bien cette construction d'une centrale nucléaire qui n'a jamais été achevée et laissée aujourd'hui à l'abandon.

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